4 novembre 2011

Les répliques les plus drôles du théâtre (Pierre Arditi)


Résumé :
De Georges Feydeau à la troupe du Splendid, en passant par Sacha Guitry, Marcel Pagnol, Marcel Aymé, Jean Poiret, Françoise Sagan, Didier van Cauwelaert ou encore Francis Veber : de tout temps l’esprit le plus acéré a soufflé au théâtre, véritable mine de répliques caustiques, brillantes, irrésistibles. C’est dans ce vivier de l’humour français qu’ont été puisés les trésors d’inventivité et de drôlerie réunis ici. Pierre Arditi, amoureux et grand serviteur du théâtre, est le meilleur des guides pour faire visiter ce patrimoine unique, et encore trop peu connu, d’ironie et d’éloquence.

Mon avis :
J'avoue que j'ai jamais vraiment compris l'interet de ce genre de bouquins.
T'es une star, à priori pas du tout ecrivain, tu t'emmerdes alors hop, tu sors un bouquin sur les blagues les plus droles, les meilleures citations, les meilleures repliques, bla bla bla.
Pourquoi une vedette et pas une autre ? Pourquoi Pierre Arditi et pas Robert Hossein ?
Enfin n'allez pas croire hein, j'aime beaucoup Arditi !
Mais c'est le genre de bouquin en lui meme que je capte pas... Tu le lis une fois, ça te prend 5 minutes, et ?
Pour moi, c'est pas un bouquin "utile" dans le sens où on va pas le lire 20 fois...
Mais bon, on passe quand meme un bon moment.
Il y a des repliques pas terribles, des repliques qui font sourire, d'autres qui font carrement rire, et d'autres "ha ouais jme souviens de cette scene HA HA"
Bref, j'ai bien aimé, meme si selon moi c'etait pas necessaire d'ecrire ce bouquin

Le chagrin c'est comme le ver solitaire : le tout c'est de le faire sortir.

Il n'y a pas de plaisir sans risques. Quand tu couches avec une femme, tu peux toujours attraper la variole, pas vrai ? Eh bien, la guerre, c'est pareil.

- En 1906, Lady Havelock est enlevée à Londres. (...) Son mari refuse de payer la rançon. Il reçoit d'abord une oreille, puis deux, puis un doigt, puis une main, puis un bras...
- Bon, ça va, est-ce qu'il a payé finalement ?
- Non, pour ce qui restait, ça n'en valait pas la peine.

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